Soyons clair le premier Just Cause avant même sa sortie avait sur ses épaules les espoirs et les attentes des nombreux joueurs qui tout comme moi vénèrent les jeux en monde ouvert et plus encore les jeux où la destruction totale est de mise. Loin de tenir toutes ses promesses le soft proposait un gameplay quelque peu innovant en associant un grappin et un parachute. Le gameplay offrait l'occasion de réaliser des cascades et de se déplacer en utilisant le parachute.
Et c'est bien ce parachute et ce grappin qui retiennent l'attention dès les premiers instants. D'autant plus que l'utilisation du grappin se révèle très simple une simple pression sur une gâchette suffit, il ne reste plus qu'à nous laisser tracter. Ensuite place à vôtre imagination, traîner un ennemi sur plusieurs mètres accroché à sa voiture, déboulonner une statue, accrocher un ennemi à une bouteille de propane et tirer sur celle ci, les possibilités sont infinies. Et c'est la que le soft prend tout son intérêt encourager l'ingéniosité et l'imagination du joueur dans sa manière d'aborder une situation. Car le grappin sert aussi à attraper n'importe quel véhicule qui passe à portée de câble. Et question véhicule il y a quoi faire, hélicoptères, tank, moto, voiture, avion, bateau ect. La conduite s'avère plaisante et indispensable pour se déplacer dans ce monde gigantesque qui s'offre à vous.
Car oui la zone de jeu est immense, comptez plusieurs fois celle de GTA IV. Bien sur beaucoup moins vivante la carte recèle plusieurs régions ayant chacune un climat différent, neige, sable... Les missions se trouvent aisément grâce à une carte qui aurait gagné à avoir un zoom plus précis. Trois factions se partagent le contrôle de Panao. Comme tous les autres GTA Like, il s'agit de remplir les objectifs de chaque faction. Avec pour chaque objectif plusieurs façons de faire.
Avec une prise en main qui ne vous demandera que quelques minutes d'adaptation, Just Cause 2 offre un très bon défouloir avec une aire de jeu immense et des possibilités infinies. Un premier contact qui ne pousse qu'à une seule chose: Terminer le jeu...